SafeWork : de la parole à l’acte, une conversation avec Tony sur la sécurité
La première priorité de Glencore sur le lieu de travail est de protéger la santé et le bien-être de ses employés. Pour y parvenir, nous devons identifier et gérer les risques pour la santé et la sécurité sur notre lieu de travail. Afin de contribuer à la réalisation de cet objectif, nous avons lancé SafeWork afin de fournir une base mondiale commune pour construire notre culture de la sécurité dans le monde entier.
Dans la série SafeWork : de la parole à l’acte, nous communiquons avec des employés de Glencore pour leur parler de SafeWork et de la sécurité en général. Dans cette entrevue, nous discutons avec Tony, superviseur de la Logistique, à Mine Raglan.
Glencore Canada : Que signifie SafeWork pour vous ?
Tony : Je compare SafeWork à une grande campagne de publicité lancée par une entreprise de marketing : nous avons un logo et un nom qui visent à transmettre un message important. Pour nous, cette campagne a permis de garder la sécurité au premier plan de tout ce que nous accomplissons; elle aide à établir un lien entre toutes nos mesures de sécurité et à maintenir une dynamique positive dans nos efforts. Il arrive souvent que ces campagnes internes finissent par disparaître ou changer au fil du temps avec de nouveaux slogans ou de nouvelles idées, etc., mais SafeWork a conservé son message depuis son lancement. Cela nous a aidés à maintenir la discussion sur le sujet et fait en sorte que la sécurité demeure notre principal sujet de conversation tous les jours.
« Je compare SafeWork à une grande campagne de publicité lancée par une entreprise de marketing : nous avons un logo et un nom qui visent à transmettre un message important. Pour nous, cette campagne a permis de garder la sécurité au premier plan de tout ce que nous accomplissons; elle aide à établir un lien entre toutes nos mesures de sécurité et à maintenir une dynamique positive dans nos efforts. »
Tony - superviseur de la Logistique à Mine Raglan
Glencore Canada : Quels changements avez-vous remarqués avec l’utilisation de l’approche des protocoles relatifs aux dangers mortels ?
Tony : Le choix des protocoles relatifs aux dangers mortels est fondé sur des éléments concrets, et il est difficile d’en débattre; ils sont là pour une raison. Les protocoles nous procurent des repères ou une orientation nous indiquant sur quoi nous devons travailler. Par exemple, si nous examinons une tâche en particulier, nous commençons par les protocoles qui peuvent s’appliquer, ce qui nous donne un point de départ dans notre discussion et nous montre les questions qu’il faut poser. Et tous les intervenants dans cette tâche particulière sont inclus; nous devons tous réfléchir à ce que cela signifie pour nous, dans nos rôles respectifs. Lorsque vous réunissez toutes ces perspectives dans une discussion, tous les employés se sentent partie prenante, ce qui a plus de chances de générer des mesures correctives.
« …qu’il faut adopter des pratiques sécuritaires tant au travail qu’à la maison. Alors, je garde des lunettes de sécurité partout à la maison, dans le garage, au sous-sol, dans le grenier, etc. Avant, quand j’effectuais certaines tâches comme couper du bois de chauffage, je me concentrais uniquement sur la tâche à faire le plus rapidement possible. Maintenant, je ne suis même pas capable d’entreprendre une tâche comme ça sans mettre ma sécurité en priorité. Et je partage ce message avec ma famille. »
Tony - superviseur de la Logistique à Mine Raglan
Glencore Canada : Pouvez-vous donner un exemple de la façon dont cette approche a ajouté de la valeur pour Mine Raglan ?
Tony : SafeWork nous a donné un nouvel élan et une dynamique positive renouvelée. Il ne s’agissait pas seulement de parler de la sécurité, mais aussi de prendre des mesures concrètes. Nous avons abordé chaque protocole en les révisant tous systématiquement : nous en avons discuté avec tous les employés pertinents, nous avons pris en note les questions et nous sommes revenus avec les réponses et l’information de base afin de favoriser leur mise en œuvre.
De plus, SafeWork a entraîné une rigueur renouvelée dans nos enquêtes de sécurité et nous a fourni les indicateurs nécessaires pour amorcer les discussions et analyser les cas. SafeWork amène tous les employés à trouver des solutions en faisant appel à la responsabilité personnelle. Il ne suffit pas de porter un problème à l’attention de quelqu’un, mais il faut aussi suggérer des solutions à ce problème.
Glencore Canada : Votre comportement face à la sécurité a-t-il évolué depuis que vous êtes à Mine Raglan et quels événements vous ont-ils influencés positivement ?
Tony : Où je travaillais avant, les blessures et les cicatrices étaient considérées comme une marque d’honneur. Mon frère, qui travaille aussi dans l’industrie minière, a subi des blessures, dont une qui l’a obligé à arrêter de travailler pendant six mois. Des leçons comme ça démontrent bien qu’il faut adopter des pratiques sécuritaires tant au travail qu’à la maison.
Alors, je garde des lunettes de sécurité partout à la maison, dans le garage, au sous-sol, dans le grenier, etc. Avant, quand j’effectuais certaines tâches comme couper du bois de chauffage, je me concentrais uniquement sur la tâche à faire le plus rapidement possible. Maintenant, je ne suis même pas capable d’entreprendre une tâche comme ça sans mettre ma sécurité en priorité. Et je partage ce message avec ma famille.