SafeWork : de la parole aux actes, une conversation avec Edgar sur la sécurité

La priorité absolue de Glencore consiste à protéger la santé et le bien-être de son personnel. Pour y parvenir, nous devons cibler et gérer les risques pour la santé et la sécurité présents dans notre milieu de travail. Afin de nous aider à atteindre ce but, nous avons lancé l’initiative SafeWork qui vise à offrir une base commune sur laquelle bâtir notre culture de la sécurité à l’échelle mondiale.

La série SafeWork : de la parole aux actes vise à maintenir le dialogue sur SafeWork et à faire en sorte que notre personnel et tous nos sous-traitants aient toujours la sécurité présente à l’esprit. Dans ce numéro, nous vous présentons un entretien avec Edgar, Spécialiste-entretien, à Mine Raglan.

Edgar : Pour moi, SafeWork est déjà une culture ancrée dans ma façon de penser et de réagir à toute exécution, que ce soit dans mon environnement de travail ou dans ma vie personnelle.

Avec la culture SafeWork établie à Mine Raglan, cela me garantit, ainsi qu'à tous mes collègues, que nous rentrerons chez nous en toute sécurité. SafeWork m'encourage à prendre mes responsabilités afin d'accomplir chacune de mes tâches en toute sécurité pour moi et mes collègues. De plus, et ce que je considère comme plus important, c'est qu'avec la culture SafeWork, peu importe qui peut signaler un incident ou arrêter un travail qui n’est pas considéré comme sûr à effectuer, sans crainte, car la vision est simplement de protégez-nous tous et évitez tout type d’incidents.

Edgar : Lors des réunions d'accueil de rotation et des réunions de démarrage de chaque quart de travail, nous accordons beaucoup d'importance à la déclaration de tous types d'incidents, aussi petits ou insignifiants que nous puissions le croire. Nous avons vu comment l'augmentation des déclarations d'incidents a eu un grand impact sur la diminution des événements et/ou des accidents. Les déclarations d'incident nous permettent de corriger à temps avant qu'un événement indésirable ne se produise.

Edgar : Lors d'une observation d'une tâche, afin d'identifier tout type de carence concernant l'exécution de cette tâche en toute sécurité, je peux contacter qu'en raison de la culture SafeWork ancrée dans tous nos collaborateurs, ils ne ressentent pas de pression ni de peur d'être observés et évalué. Il est bien compris de tous que l'objectif est d'identifier des points d'amélioration et qu'au final le but est d'améliorer et de sécuriser l'exécution des tâches. Toute l'équipe se sent bien identifiée et nous coopérons tous pour rendre nos journées de plus en plus sûres.

Edgar : Mon travail est pratiquement tout le temps dans un bureau, bien qu'il y ait des risques minimes également dans un bureau, il est important pour moi de passer du temps sur le terrain, car je peux voir des choses que les autres ne voient peut-être pas dans des tâches que je ne fais pas régulièrement. J'aime aller sur le terrain et discuter avec nos techniciens des tâches qu'ils effectuent, parler des mesures de sécurité qu'ils adoptent pour les réaliser et les aider à enrichir leur analyse.

En même temps, ces rondes sur le terrain me permettent d'identifier des choses qui, nous qui planifions leurs travaux, peuvent améliorer la planification des travaux d'un point de vue sécuritaire et rendre l'exécution de la même tâche beaucoup plus sûre à l'avenir.

Edgar: Bien sûr, mon comportement vis-à-vis de la sécurité a évolué et pas seulement au travail, mais aussi dans ma vie quotidienne. C'est déjà instinctivement que lors de l'exercice de toute activité, j'ai tendance à faire une analyse pour identifier les risques éventuels, et ce que je considère le plus intéressant, c'est que j'ai transmis cette culture à ma femme et mes filles. J'ai déjà travaillé dans trois usines différentes de Glencore et l'effet de cette culture bien standardisée dans toute l'entreprise m'a certainement fait évoluer positivement en matière de sécurité.