SafeWork : de la parole aux actes, une conversation avec Bleir sur la sécurité

La priorité absolue de Glencore consiste à protéger la santé et le bien-être de son personnel. Pour y parvenir, nous devons cibler et gérer les risques pour la santé et la sécurité présents dans notre milieu de travail. Afin de nous aider à atteindre ce but, nous avons lancé l’initiative SafeWork qui vise à offrir une base commune sur laquelle bâtir notre culture de la sécurité à l’échelle mondiale.

La série SafeWork : de la parole aux actes vise à maintenir le dialogue sur SafeWork et à faire en sorte que notre personnel et tous nos sous-traitants aient toujours la sécurité présente à l’esprit. Dans ce numéro, nous vous présentons un entretien avec Bleir, technologue en contrôle au sol, à la mine Fraser à Sudbury INO.

Bleir : SafeWork représente mon engagement en matière de sécurité. Les travaux en surface et en souterrain comportent différents risques nécessitant des moyens de contrôle différenciés en vue de travailler et de promouvoir un comportement sécuritaire. Je crois aussi que l’approche SafeNickel que nous encourageons à Sudbury INO est quelque chose que je ramène chez moi et que je mets en pratique avec ma famille.

Glencore Canada : Quels changements avez-vous remarqués suite à l’utilisation de normes de sécurité comme les protocoles relatifs aux dangers mortels (FHP)?

Bleir : Lorsque nous révisons les FHP, c’est l’occasion, pour moi-même et notre service, de se familiariser avec les divers risques qui peuvent survenir dans l’unité opérationnelle. Notre groupe ingénierie et de géologie à la mine Fraser ne connaît peut-être pas certains de ces dangers, mais il est très avantageux d’être conscient de leur existence.

Glencore Canada : Pouvez-vous donner un exemple de la façon dont les normes de sécurité ou l’approche des protocoles relatifs aux dangers mortels ont ajouté de la valeur à Sudbury INO ?

Bleir : Pour moi, c’est la fiche d’évaluation préalable à la tâche et son examen direct et quotidien des protocoles relatifs aux risques mortels. La « fiche en cinq points » précédente était idéale pour identifier les dangers sur le lieu de travail, mais la fiche d’évaluation préalable a permis de faire passer cette sensibilisation sur le lieu de travail à un niveau supérieur dans la poursuite d’un environnement de travail sans danger.

Les travailleurs sont encouragés à l’examiner du point de vue des risques mortels potentiels et à mettre en œuvre des mesures de contrôle pour réduire ou éliminer tout risque potentiel. À mon avis, cette fiche encourage également une attitude positive pour la journée de travail.
 

Glencore Canada : Quelles sont vos préoccupations actuelles en matière de sécurité et comment contribuez-vous à prévenir les accidents? 

Bleir : Un défi constant : la communication. Il est difficile de s’assurer que toute l’information pertinente est transmise à d’autres personnes qui pourraient bénéficier de ces connaissances pour rendre leur journée plus sûre ou plus productive.

Je pense contribuer à améliorer la communication en organisant nos groupes « Morning Huddle ». Là, nous réunissons tout le personnel de notre service pour examiner les incidents, partager des informations et sensibiliser les autres aux dangers, aux retards, aux obstacles et pour discuter, en groupe, des contrôles que nous pouvons mettre en œuvre pour tous les risques inhérents à nos tâches quotidiennes.

Glencore Canada : Votre comportement face à la sécurité a-t-il évolué depuis que vous travaillez chez Sudbury INO? 

Bleir : Absolument. Lorsque je parle à des étudiants, à des sous-traitants, à des visiteurs ou à toute personne arrivant sur le site pour la première fois, je commence toujours la conversation par : « Glencore n’a aucun intérêt pour un risque ingérable » et je peux dire cela avec une confiance absolue. À la fin de la visite des installations souterraines, cette personne est également d’accord avec cette déclaration.